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Actualités 2017

Recueilli par Nathalie Birchem et Emmanuelle Lucas, le 26/07/2017 à 18h15
 
Dès la rentrée, Sophie Cluzel entend être en mesure de fournir un assistant de vie scolaire à tous les enfants dont les familles en ont fait la demande.
La secrétaire d’État chargée des personnes handicapées indique vouloir tout mettre en œuvre pour que l’Allocation adulte handicapé augmente significativement dès 2018.
 
La Croix : Avant même d’être élu, Emmanuel Macron a promis qu’il ferait du handicap une priorité. Comment allez-vous la porter dans un contexte de restrictions budgétaires ?
 
Sophie Cluzel : Le président de la République l’a réaffirmé, le handicap sera bien l’une des priorités du quinquennat. Nous allons lancer un comité interministériel sur le sujet fin septembre – début octobre. Il faut en effet que la politique du handicap irrigue tous les ministères. Mon fil rouge à moi, ce sera de partir de l’expertise des personnes pour simplifier l’accès aux droits. Il faut absolument qu’on arrive à réduire les délais de réponse pour tout. Notre objectif est de progresser vers une société vraiment inclusive, où l’on part du choix de vie de la personne pour inventer des solutions qui lui permettent d’avoir sa place tant à l’école que dans le logement, l’emploi, la ville, les transports… Nous allons aussi lancer un chantier pour mieux accompagner les 4,5 millions d’aidants qui sont au côté des personnes handicapées.
 

Quand aura lieu la revalorisation de l’Allocation adulte handicapé ?

 
S.C. : Cette AAH est actuellement à 810 €, bien en dessous du seuil de pauvreté. Le président de la République s’est engagé à la porter à 900 €. Le calendrier reste à négocier, mais nous faisons tout pour que cette allocation augmente significativement dès 2018. Les décisions seront rendues d’ici à début septembre. Le contexte budgétaire est compliqué. L’enveloppe pour l’AAH avait été sous-budgétisée par le précédent gouvernement. Nous avons mis un point d’honneur à sanctuariser ce budget en 2017.
 

Emmanuel Macron a promis que tout élève qui en a besoin aurait accès à un auxiliaire de vie scolaire (AVS). Est-ce que cela va se faire dès la rentrée ?

 
S.C. : On peut d’ores et déjà dire qu’il y aura, en septembre, le nombre de contrats suffisants pour accompagner les enfants dont les familles en auront fait la demande. En l’absence d’accompagnant le jour J, ou si l’accompagnant n’est pas là le jour J, l’enfant pourra faire sa rentrée quand même. De façon habituelle, entre mai et septembre, il y a toujours 10 000 dossiers en cours d’instruction. Toutes ces situations vont trouver une solution.
 
Parallèlement, nous allons moderniser, professionnaliser et pérenniser les emplois d’AVS. Nous sommes convaincus que l’accompagnement est primordial si nous voulons réellement inclure les enfants handicapés à l’école, mais aussi au centre de loisirs puis, un jour, en stage dans une entreprise. Nous voulons éviter les ruptures d’accompagnement.
 

Actuellement, faute de places en établissements, 4 600 adultes et 1 500 enfants sont obligés d’aller en Belgique. Qu’allez-vous faire pour améliorer les choses ?

 
S.C. : L’exil forcé a cessé depuis 2016 grâce à un gros travail mené depuis la Conférence nationale du handicap. Des fonds ont été débloqués et de nouvelles méthodes de travail ont vu le jour. Désormais, pour chaque demande de placement restée sans solution, tous les acteurs se réunissent autour de la table afin de trouver une réponse de proximité. Nous allons aller plus loin, avec une réforme de la tarification des établissements qui permettra de servir plus de monde.
 
Nous souhaitons aussi favoriser l’habitat inclusif comme alternative au placement en établissement. L’idée est de permettre aux personnes en situation de handicap de vivre ensemble autour d’un projet qu’elles ont choisi, en partageant par exemple une maison ou un appartement. Ce sont des concepts très nouveaux qui remettent le handicap au cœur de la ville.
 
Le plan pour mettre les bâtiments publics en situation d’accessibilité a pris énormément de retard. Comment accélérer les choses ?
 
S.C. : Ce sujet sera au programme du comité interministériel. Il faut en effet donner un coup d’accélérateur puisque 1,5 million d’établissements accueillant du public ne sont toujours pas accessibles. Nous allons donc relancer le déploiement d’ambassadeurs de l’accessibilité qui aideront les communes dans leurs démarches.
 
Je voudrais aussi insister sur la notion d’accessibilité universelle : l’accessibilité profite à tous, notamment aux personnes âgées ou aux parents avec une poussette ! De la même façon, il nous faut travailler à l’accessibilité numérique des sites, des accueils, dans les services publics. Pour les transports, il reste à faire connaître ce qui est déjà fait mais pas encore connu. Il existe déjà des applications sur téléphone, il y a gros effort d’information à faire. Là encore, cela peut servir aux parents et aux personnes âgées…
 

Comment comptez-vous agir contre le chômage des personnes en situation de handicap qui demeure toujours deux fois plus haut que la moyenne ?

 
S.C. : La politique de l’emploi a fait des progrès mais ce n’est toujours pas satisfaisant. L’obligation d’employer 6 % de personnes handicapées n’est pas atteinte mais elle progresse : aujourd’hui, le taux d’emploi est de 3,3 % dans les entreprises privées assujetties contre 5,1 % dans le secteur public. De moins en moins d’employeurs paient donc la pénalité due quand ils n’atteignent pas les 6 %. Il ne faut pas s’en plaindre. Mais de fait, les fonds diminuent alors qu’on a toujours des besoins insatisfaits.
 
Pour progresser encore, il va donc falloir trouver de nouvelles façons de faire. Une mission d’inspection est en cours et une concertation démarrera à l’automne. Nous disposons déjà de nouveaux leviers intéressants comme l’emploi accompagné, décidé sous le précédent quinquennat. Cet outil vise à aider les travailleurs handicapés à accéder et à se maintenir dans l’emploi et à soutenir les entreprises. En 2017, une enveloppe de 7,5 millions d’euros est déjà prévue, ce qui va permettre de faire près de 1 000 accompagnements. Nous voulons aussi développer l’alternance, avec l’objectif que les personnes handicapées y soient autant représentées que dans la population.
 
En juin, vous avez annoncé le quatrième plan autisme. Pouvez-vous assurer les familles que celui-ci fera avancer vraiment les choses ?
 
S.C. : C’est un plan novateur car il sera bâti dans les territoires, puisque ceux-ci seront ensuite responsables de sa mise en œuvre. Quelques axes de réflexion émergent : la prise en charge précoce, la scolarisation, la recherche afin de mieux former les personnels et l’emploi des adultes avec autisme. Là aussi, il faudra ouvrir le chantier de la transformation de l’offre médico-sociale. Il faudra se poser la question de savoir comment mieux accompagner en milieu ordinaire et non plus systématiquement en établissement. De telles interrogations permettront d’irriguer une réflexion valable pour tous types de handicap.
 

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La secrétaire d’Etat aux Personnes handicapées, Sophie Cluzel, souhaite revaloriser l’allocation dédiée et résoudre les problèmes de scolarisation des enfants handicapés. Elle a par ailleurs confirmé le futur lancement du 4e plan autisme.

Le handicap ? Une des "priorité du quinquennat" assure la secrétaire d’Etat aux Personnes handicapées, Sophie Cluzel. Elle a détaillé mardi les chantiers "urgents" : scolarisation, allocation adulte handicapé à 900 euros et lancement du 4e plan autisme.
 
Interrogée par la Commission aux affaires sociales de l'Assemblée nationale, Mme Cluzel a dit avoir "commencé à travailler" à la revalorisation de l'allocation adulte handicapé (AAH), l'une des promesses de campagne d'Emmanuel Macron.  "Il faut un minimum de ressources qui soit digne et respectueux des besoins. Aujourd'hui, l'AAH est à 810 euros mensuels, en-dessous du seuil de pauvreté, l'engagement c'est de le porter à 900 euros", a-t-elle dit aux députés, sans préciser le calendrier. Cette allocation concerne un million de personnes en situation de handicap, majoritairement sans emploi. Le seuil de pauvreté se situe autour de 1.000 euros.
 
Concernant la scolarisation des enfants en situation de handicap, un "comité de pilotage" a été mis en place avec le ministre de l'Éducation, Jean-Michel Blanquer, "pour essayer de résoudre tous les problèmes des élèves handicapés avant la rentrée: le manque de places dans les dispositifs collectifs de scolarisation ou les problèmes d'accompagnants", a annoncé Mme Cluzel. Selon elle, "40 à 45% des élèves ont besoin d'être accompagnés" et "beaucoup sont à l'école sans accompagnants, un sujet qui inquiète les parents".
 
Pour cette ancienne présidente de la Fédération nationale des associations au service des élèves présentant une situation de handicap (Fnaseph), il faudra en outre, "dès la rentrée passée", "ouvrir le chantier de rénovation de la professionnalisation des accompagnants" d'enfants handicapés.
 
Enfin, concernant la prise en charge des troubles du spectre autistique (TSA), qui touchent quelque 650.000 enfants et adultes, Mme Cluzel a estimé que la France avait "encore du retard". Le 4e plan autisme, dont la concertation été lancée en juillet à l’Élysée, doit être annoncé début 2018.
 
Ce nouveau plan s'articulera en cinq axes: la prise en charge précoce de ce trouble neuro-développemental, la scolarisation des enfants atteints d'autisme, la prise en compte des besoins des personnes adultes dans leur vie sociale et professionnelle, la prise en compte des parcours des familles, et le besoin de recherche sur ce trouble, a-t-elle développé.
 
Mme Cluzel s'est engagée à "revenir à l'automne" devant les députés pour "faire un point de la concertation". Elle a en outre annoncé que le premier comité interministériel du handicap (CIH) du quinquennat se réunira "fin septembre-début octobre".
 
Avec AFP

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["APPEA"]
 
 
 
Evaluation et accompagnement psychologiques
de l’autisme chez l’enfant et l’adolescent

Journée d’études APPEA
Lundi 16 octobre 2017
Amphi ASIEM 75007 PARIS
 
 
 
 
- Du 3ème plan au 4ème plan autisme ; accompagnement au diagnostic et actualité de la recherche
- Evaluation psychologique, clinique et diagnostique ; outils disponibles au psychologue (niveau 1 ou 2 de consultation)
- Théorie de l'esprit et intersubjectivité
- Prise en charge précoce avant 3 ans, dispositifs innovants et méthodes recommandées
- Soutien aux habiletés sociales ; accompagnement des parents et des familles
- Les projets individualisés et l'éthique de la prise en charge
 
 
Avec Ghislain Magerotte (Université Mons - Belgique), Nicolas Georgieff (Université Lyon), Céline Alcatraz-Darrou (CRA Montpellier), Léa Dormoy (Pediated - Versailles) et d’autres intervenants spécialisés
 
Ouverture des inscriptions le lundi 20 août 2017
 
RÉSERVEZ LA DATE !
 

 

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Sophie Cluzel, secrétaire d’État chargée des Personnes handicapées, a présenté lors du Conseil des ministres du 7 juin une communication intitulée "Handicap : une priorité du quinquennat". Parmi les mesures annoncées, la revalorisation de l’Allocation adulte handicapé (AAH) de 100 euros par mois.

 

Le handicap touche 12 millions de Français. "Nous devons relever le défi d’une société accessible, fraternelle et solidaire, qui facilite la vie au quotidien au lieu de segmenter, et qui rend possible au lieu de contraindre", a déclaré la secrétaire d’État chargée des Personnes handicapées lors de sa communication en Conseil des ministres.
 
"Si le cadre législatif et réglementaire français est posé, il est complexe et génère trop de fonctionnement en silo", constate la secrétaire d'État. Pour améliorer le dispositif, le Gouvernement souhaite partir des besoins individuels et de l’expertise des personnes en situation de handicap et de leurs proches, pour bâtir des solutions collectives. Une concertation sera lancée avec l'ensemble des acteurs et en particulier les collectivités territoriales pour simplifier l'accès aux droits et améliorer la qualité de service.

Parmi les mesures énoncées :
 

  • Rentrée scolaire  2017 : un chantier de rénovation de l’accompagnement sera lancé pour apporter des réponses aux ruptures de parcours. Tous les enfants qui en ont besoin devront avoir accès à l’accompagnement adapté leur permettant une scolarité et un accès aux activités périscolaires ou extrascolaires comme les autres.
  • 4e plan autisme : la concertation sera lancée le mois prochain.
  • Revalorisation de 100 euros par mois de l'Allocation adulte handicapé (AHH). Le Gouvernement définira rapidement les modalités de mise en œuvre.
  • Emploi et formation : un effort sera fait en faveur de l’apprentissage et de la formation des demandeurs d'emploi.
  • Mobilisation des acteurs des services publics de l’emploi et des employeurs pour inciter à l’embauche des personnes handicapées. Il s’agit de deux clés pour favoriser leur accès à l’emploi, alors que leur taux de chômage reste plus du double de celui de la population active.
  • Transport : pour renforcer la mobilité, 100% des trajets accessibles doivent être identifiés et cartographiés. Le plan d'investissement transports pourra être mobilisé en appui de l'amélioration de l'accessibilité.
  • Logement et construction : les logements adaptés doivent être systématiquement identifiés et l’accessibilité précisée pour faciliter les recherches. Le développement des habitats inclusifs doit être favorisé en levant les obstacles administratifs. Les bailleurs sociaux devront identifier les logements adaptés, et rendre cette liste transparente pour favoriser le logement des demandeurs en situation de handicap.
  • Accessibilité des services publics numériques pour tous. Le Gouvernement soutiendra l’innovation technologique pour les personnes en situation de handicap.
  • Améliorer les conditions de travail des accompagnants et la qualité de vie des aidants familiaux.
  • Les Jeux olympiques et paralympiques 2024 seront l'occasion de valoriser à leur juste niveau les compétences de nos athlètes paralympiques.

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Le 7 juin, Sophie Cluzel, secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargée des personnes handicapées, a présenté une communication intitulée « Handicap : une priorité du quinquennat » en Conseil des ministres.
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Le handicap est d’abord une histoire individuelle qui bouleverse le cours d’une vie, d’une fratrie, d’une famille. 12 millions de Français sur 65 millions sont touchés par le handicap.
Nous devons changer le regard de la société sur le handicap, vaincre les appréhensions et lever les obstacles. Nous devons relever le défi d’une société accessible, fraternelle et solidaire, qui facilite la vie au quotidien au lieu de segmenter, et qui rend possible au lieu de contraindre.
C’est cet objectif qui a guidé la décision de placer le secrétariat d’État auprès du Premier ministre, chargé des personnes handicapées. Cette décision est le gage de la priorité que le Gouvernement entend donner à la réponse effective aux besoins des personnes en situation de handicap, quel que soit leur handicap et leur l’âge, dans l’ensemble des réformes qu’il mettra en œuvre.
Si le cadre législatif et réglementaire français est posé, il est complexe et génère trop de fonctionnement en silo. L’action du Gouvernement aura une boussole : partir des besoins individuels et de l’expertise des personnes en situation de handicap, ainsi que de leurs proches, pour bâtir des solutions collectives, et non l’inverse, en décloisonnant et simplifiant.
Elle se construira dans la concertation avec l’ensemble des acteurs et partenaires de cette politique, en particulier les collectivités territoriales, avec pour fil rouge la simplification de l’accès aux droits et l’amélioration de la qualité de service.
D’ores et déjà, le Gouvernement met tout en œuvre pour apporter des solutions garantissant une rentrée scolaire fluide pour les enfants concernés en septembre 2017. Parallèlement un chantier de rénovation de l’accompagnement sera lancé pour apporter des réponses aux ruptures de parcours : tous les enfants qui en ont besoin devront avoir accès à l’accompagnement adapté leur permettant une scolarité et un accès aux activités périscolaires ou extrascolaires comme les autres.
Pour mieux accompagner les personnes avec autisme, la concertation du 4ème plan « autisme » sera lancée le mois prochain.
Le Gouvernement définira rapidement les modalités de mise en œuvre de l’engagement du Président de la République de revaloriser l’allocation adulte handicapé de 100 euros par mois.
L’effort qui sera fait en faveur de l’apprentissage, ainsi que celui pour la formation des demandeurs d’emploi devront pleinement bénéficier aux personnes en situation de handicap. Il s’agit de deux clés pour favoriser leur accès à l’emploi, alors que leur taux de chômage reste plus du double de celui de la population active.
Cet effort devra être couplé avec une mobilisation accrue des différents acteurs des services publics de l’emploi et des employeurs. Des incitations à l’embauche des personnes handicapées, parmi lesquelles le déploiement effectif des services d’emploi accompagné, seront mises en œuvre afin de favoriser leur emploi effectif. L’embauche des personnes en situation de handicap ne doit plus être perçue comme une contrainte, mais comme une opportunité pour faire vivre la société du travail pour tous, voulue par le président de la République.
En matière de transports comme en matière de logement, c’est l’amélioration de la vie quotidienne de chacun qui doit être poursuivie. Ainsi, pour renforcer la mobilité, 100 % des trajets accessibles doivent être identifiés et cartographiés. Le plan d’investissement transports pourra être mobilisé en appui de l’amélioration de l’accessibilité.
De même, dans le champ du logement et de la construction, l’objectif d’accessibilité fixé par la loi n° 2005-102 du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées doit être réaffirmé. En outre, les logements adaptés doivent être systématiquement identifiés et l’accessibilité précisée pour faciliter les recherches. Le développement des habitats inclusifs doit être favorisé en levant les obstacles administratifs. Les bailleurs sociaux devront identifier les logements adaptés, et rendre cette liste transparente pour favoriser le logement des demandeurs en situation de handicap.
Le Gouvernement s’engage également pour l’accessibilité des services publics numériques pour tous. Il soutiendra également l’innovation technologique pour les personnes en situation de handicap.
Enfin, pour lutter contre l’usure sociale et la détresse des familles, il faut être particulièrement attentif aux conditions de travail des accompagnants et à la qualité de vie des aidants familiaux. Le Gouvernement s’attachera à mettre en œuvre les nouveaux droits annoncés par le Président de la République.
Le regard sur la personne handicapée, la reconnaissance de ses compétences, ne changera que si nous donnons toute sa place à la personne handicapée, et favorisons sa visibilité dans les médias. Les Jeux olympiques et paralympiques 2024 seront l’occasion de valoriser à leur juste niveau les compétences de nos athlètes paralympiques.
La politique du handicap du Gouvernement repose sur une responsabilité collective qui nous engage tous. Nous devons entrer dans une culture de l’efficacité et du résultat. Une société qui prend en compte les besoins des plus vulnérables se grandit.
Image © Présidence de la République – G.Mariette/F.Lafite
 

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